Guy de Compiègne, Éditions du Varulv, 2013
La peinture de Nicolas Poussin et le jardin japonais du bouddhisme zen continuent d’exercer, indépendamment l’un de l’autre, une fascination qui perdure.
Pour composer le paysage idéal, Poussin et les maîtres zen utilisent des artifices similaires qui nous émeuvent au-delà du plaisir visuel afin de nous suggérer des sujets de réflexions philosophiques.
Cette constatation a poussé Guy de Compiègne vers un rapprochement qu’il pressentait entre ces artistes, malgré l’absence totale de connections historiques ou géographiques.
Lisez au sujet de cet essai notre passionnant entretien avec l’auteur, Guy de Compiègne (mars 2014) et découvrez le nouvel essai de l’auteur (mars 2015), Nicolas Poussin L’ambiguïté recherchée
Au-delà de son interprétation subjective l’auteur s’appuie sur ce qui constitue la perception visuelle pour nous guider dans le cadre du tableau ou celui formé par la véranda du temple japonais. En révélant les similitudes de composition et de sujet, l’auteur nous fait partager les raisons de sa passion pour l’émotion visuelle.